|  |
| |
Samedi 16 avril à 15h |  PoéVie Les écrivains réunis pour une lecture à voix haute à la libraire Liber & Co
(Article du Télégramme et photo : Roselyne de Montesquiou)
Pour Bénédicte Liber, responsable de la librairie Liber and Co située au 2 rue des remparts à Palais, « réunir des poètes pour ce moment de lecture est une bouffée d’oxygène après la période de fermeture sanitaire. Je voulais les entendre dans le jardin, cet instant pourrait s’appeler POÉ-VIE », explique-t-elle.
En premier : Falmares, jeune réfugié guinéen venu lire un passage de son troisième livre "Tropique Printanière".
Ensuite, Léa Dubreuil, professeur au collège Michel-Lotte, a lu "Désir" un poème extrait de son recueil "Bastia",
puis ce fut au tour du "troubadour de Kervi", connu sous son nom de Marane, de s’exprimer...
en savoir plus
|  |
| |  | > Toutes les rencontres
|
 |
RENCONTRE & SIGNATURE Autour de Marcel Proust
| Dimanche le 29 décembre 2019 |
| > Vos réactions |  | 📖✍🏻
Avec l’écrivain blogueur «proustien» Nicolas Ragonneau
Avec deux beaux livres autour de Marcel Proust
parus aux belles éditions La Pionnière
* Proust, Commercy 1915
Cet ouvrage présente un choix de lettres du médecin major Maurice Vendôme (1877-1921) échangées avec sa sœur pendant la Première Guerre mondiale au sujet de Marcel Proust. Cette correspondance, totalement inédite, jette une lumière tout à fait nouvelle et troublante sur la biographie de l’écrivain pendant les années de la Grande Guerre.
Le Dr Vendôme, diplômé de la Faculté de Lyon (où il côtoie René Leriche) mais inconnu des historiens, a servi à Commercy, dans les Vosges et sur le front de l’Est.
Ces lettres, choisies et annotées par Nicolas Ragonneau, font partie d’un ensemble de 156 documents retrouvés par ce dernier dans l’extraordinaire collection de Jean-Pierre Verney, fondateur du musée de la Grande Guerre de Meaux.
* Dans les pas de Marcel Proust
de William Friedkin
Traduction de l’américain : Nicolas Ragonneau
Préface : Jérôme Prieur
En 1977, William Friedkin, le réalisateur des films culte French Connection et l’Exorciste épouse à Paris Jeanne Moreau qui lui fait lui découvrir À la recherche du temps perdu. Si Jeanne Moreau et William Friedkin se séparent deux ans plus tard, celui-ci ne quittera plus dès lors l’œuvre de Marcel Proust sur lequel il voudra tout savoir. C’est le récit totalement inattendu, absolument surprenant et tout à la fois « modeste, sincère, merveilleux » de cette passion ainsi que du séjour français qu’il effectue des années plus tard dans les pas de Marcel Proust, qu’il nous offre en quelques pages étonnantes, fidèle, comme l’écrit Jérôme Prieur dans la préface « au motif de tous ses films : l’obsession ».
***Une belle façon de fêter le Centenaire du Prix Goncourt de Marcel Proust en décembre 1919… !
|
Vos réactions
|