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LE TEMPS DE LIRE - PATRICK MODIANO, tous les dimanches à 18h | Dimanche le 30 novembre 2014 |
| > | | Patrick Modiano, prix Nobel de littérature 2014.
Lecture de Romans*
Villa triste, lecture des chapitres 4, 5, 6 et 7 (jusqu'à "Les yeux noirs") de la page 93 à la page 121 (Edition Folio)
VOIX 1 SYLVIE
" Meinthe a regardé... " à " P94... lui chuchote-t-il.
VOIX 2 GENEVIEVE
" (p 95) J'ai quitté... à p 98... le vestibule de l'hôtel."
VOIX 3 MICHELE
" P 98 Quelqu'un se tenait... à P 99... votre vie."
VOIX 4 BENEDICTE
" P 100 A l'Hermitage... à P103... impressionnée. "
VOIX 5 CLAUDINE
" P103 Pendant quelques jours... à P 106... Yvonne s'était endormie."
VOIX 6 ROBERT
" P 106 Nous dînions ... à P109 ... cinéma Le Régent".
VOIX 7 ANNICK
" P 110 Il suffirait... à P113 ... école."
VOIX 8 BEATRICE
"P113 Meinthe... à P114 ... moi aussi. "
VOIX 1 SYLVIE
" P114 Le jury... à P116... satisfait."
VOIX 8 BEATRICE
" P116 Numéro 32...à P 118 ... un baiser."
VOIX 3 MICHELE
P 118 Ils délibérèrent... à P 121 ... Les yeux noirs. "
*Villa triste, Livret de famille, Rue des boutiques obscures, Remise de peine, Chien de printemps, Dora Bruder, Accident nocturne, Un pedigree, Dans le café de la jeunesse perdue, L'horizon.
L’écrivain a rassemblé dix de ses vingt-huit romans dans Romans, paru en 2013 chez Gallimard, dans la collection Quarto. « Ces romans, dit-il, réunis pour la première fois forment un seul ouvrage et ils sont l'épine dorsale des autres... Je croyais les avoir écrits de manière discontinue, à coup d'oublis successifs, mais souvent les mêmes visages, les mêmes noms, les mêmes lieux, les mêmes phrases reviennent de l'un à l'autre, comme les motifs d'une tapisserie que l'on aurait tissé dans un demi- sommeil. »
Tous les dimanches à 18h nous retrouverons l’univers d'un écrivain « de la mémoire sur fond d’oubli », Patrick Modiano.
« Les dimanches, surtout en fin d'après-midi, et si vous êtes seul, ouvrent une brèche dans le temps. Il suffit de s'y glisser. » écrit-il dans L'herbe des nuits.
C'est par cette brèche dans le temps que nous sommes entraînés dans celui de la littérature.
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